« ? »

« Le point d’interrogation ne sert à rien ! »…
Cette affirmation lâchait avec aisance me laisse perplexe ! Elle révolutionne ma « croyance » de nous savoir tous attachés à l’interrogation.
Bien sûr, douter de tout reviendrait à ne plus rien affirmer…
Mais alors pour me semble t’il nécessaire à notre cheminement ? A quoi sert-il ?
Dans le mouvement de nos relations extérieures, il semble délimiter notre espace de liberté… Notre liberté ne s’arrête t’elle pas où commence celles des autres ? Et inversement ! Mais nous même ?
Si nous avons faim ou soif. Si nous voulons… Espérons… Désirons… Notre intuition répond à nos besoins. La conscience de soi ouvre l’espace nécessaire à celle-ci.
Alors le point d’interrogation : clef de l’acte de penser ?
Douter nous ferait-il renoncer à la vérité ou alors… Commencer à la chercher ?
Le doute ressemblerait alors à un désir d’ouvrir le champ des possibles…
interrogation